Avec 5 ballons d’or à leur actif chacun et une moyenne de but qui truste avec 1 but par match, Lionel Messi et Cristiano Ronaldo sont bien évidemment présents. Le Nacional s’enorgueillit notamment d'avoir fourni tous les joueurs lors de la première victoire de la sélection en 1903 et d'avoir compté des sélectionnés lors de tous les succès de l'équipe d'Uruguay, mondiaux et continentaux[45]. Après plusieurs décennies de résultats décevants, la sélection uruguayenne renoue avec son glorieux passé lors de la Coupe du monde 2010 où elle atteint les demi-finales. En mars 1900, quatre clubs de Montevideo, l'Albion Football Club, le CURCC, le Deutscher Fussball Klub et l'Uruguay Athletic Club (es) fondent l'Association uruguayenne de football (Asociación Uruguayana de Fútbol, ou AUF), qui organise immédiatement un championnat annuel des clubs. Au cours du XXe siècle, la sélection uruguayenne pioche majoritairement dans les effectifs des deux grands clubs de Montevideo, le Club Nacional et le CA Peñarol, qui se partagent la grande majorité des titres de champion d'Uruguay et ont remporté chacun trois fois la Coupe intercontinentale. On privilégiait surtout les buteurs. Elle remporte notamment deux titres olympiques (en 1924 et en 1928) et la première Coupe du monde en 1930, ainsi que de nombreux championnats d'Amérique du Sud. Après une victoire sur le score de 0-5 lors du match aller à Amman, elle concède un match nul à domicile et se qualifie pour la phase finale[29]. L'Uruguay parvient à se qualifier pour le mondial sud-africain en finissant 5e de la zone Amérique du Sud, puis en éliminant le Costa Rica en barrage (2-0 et 1-1). L'Uruguay entame la compétition par un match nul contre la France, finaliste de l'édition précédente (0-0), avant de battre l'Afrique du Sud, pays organisateur (3-0), puis le Mexique (1-0), et se qualifie ainsi en 8e de finale. Le football n'est pas au menu des Jeux olympiques de 1932 et, vexée par le boycott de plusieurs équipes européennes en 1930, l'Uruguay refuse de se rendre en Italie pour défendre son titre lors de la Coupe du monde 1934. Le football est introduit à Montevideo dès la fin des années 1870 et pratiqué au sein du Montevideo Cricket Club (en), fondé par des émigrants anglais en 1861[3]. L'Uruguay perd sa couronne sud-américaine en 1921 et 1922, deux tournois marqués par des défaites surprise face au Paraguay, le nouveau venu dans la compétition, puis la récupère en 1923 et en 1924. Ils ont dévoilé les 10 meilleurs africains de tous les temps. Lors de Copa América 2004, l'Uruguay s'assure la troisième place face à la Colombie (2-1). Mais c’est l’Argentin qui domine ce classement devant des joueurs comme Pelé, Diego Maradona, Cruyff, etc. Cet article traite de l'équipe masculine. Pour la Copa América 1999, après avoir passé difficilement le premier tour, l'Uruguay atteint avec quelques difficultés la finale mais perd 3-0 contre le Brésil. La première rencontre officielle entre les sélections des deux fédérations voisines a lieu le 20 juillet 1902 à Montevideo. Le 30 juillet, il accueille la finale du tournoi, au cours de laquelle l'Uruguay s'impose face à l'Argentine devant 60 000 à 93 000 spectateurs. Tous répondent présent à l'exception de l'Angleterre, remplacée par les Pays-Bas, finalistes des Coupes du monde 1974 et 1978. Ces duels, organisés à Montevideo, Buenos Aires ou Avellaneda en Argentine, sont l'objet de trophées amicaux, Copa Lipton et Copa Newton notamment[9]. Elles se sont disputé deux finales mondiales, lors des Jeux olympiques de 1928 puis lors de la Coupe du monde de 1930. If playback doesn't begin shortly, try restarting your device. Deux victoires poussives (1-0) contre l'Égypte et l'Arabie Saoudite et une plus nette (3-0) contre la Russie, certes rapidement réduite à 10 à la suite d'un carton rouge, lui assurent la première place groupe A. Elle bat en huitième de finale le Portugal (2-1), champion d'Europe en titre. Il disparaît le 22 août 1972 à l’âge de 78 ans dans sa ville natale de Montevideo. La Celeste écarte le Pérou en demi-finale (2-0), puis le Paraguay en finale (3-0), glanant ainsi son 15e continental, son premier depuis seize ans[28]. Vainqueur de la Copa America en 1916, 1917, 1920, 1923, 1924 et 1926 (Uruguay), Finaliste de la Copa America en 1919 (Uruguay), 3ème de la Copa America en 1921 et 1922 (Uruguay), Médaille d'or aux Jeux Olympiques de Paris en 1924 (Uruguay), Vainqueur de la Copa Lipton en 1911, 1912, 1919, 1922 et 1923 (Uruguay), Finaliste de la Copa Lipton en 1915, 1916, 1917 et 1918 (Uruguay), Vainqueur de la Copa Newton en 1912, 1917, 1919, 1920 (Uruguay), Finaliste de la Copa Newton en 1911, 1918 et 1927 (Uruguay), Finaliste de la Copa Premier Honor Argentino en 1911, 1918, 1919 et 1920 (Uruguay), Vainqueur de la Copa Premier Honor Uruguayo en 1911, 1912, 1918, 1919 et 1920 (Uruguay), Finaliste de la Copa Premier Honor Uruguayo en 1916 et 1923 (Uruguay), Vainqueur de la Copa Aldao en 1916, 1919 et 1920 (Nacional), Finaliste de la Copa Aldao en 1917 (Nacional), Vainqueur de la Copa de Honor Cousenier en 1911 (CURCC), 1915, 1916 et 1917 (Nacional), Vainqueur de la Cup Tie Competition en 1915 (Nacional), Finaliste de la Cup Tie Competition en 1919 (Nacional), Champion amateur d'Uruguay en 1911 (CURCC), 1915, 1916, 1917, 1919, 1920, 1922, 1923 et 1924 (Nacional), Champion amateur d'Uruguay en 1918, 1921 et 1929 (Nacional), Vainqueur de la Copa de Competencia en 1915, 1919, 1921 et 1923 (Nacional), Vainqueur de la Copa de Honor en 1911 (CURCC), 1915, 1916, 1917 (Nacional), Meilleur buteur de la Copa America en 1917 (4 buts) et 1920 (3 buts), Né le 1er septembre 1900 à Montevideo (URU), Décédé le 18 septembre 1970 à Montevideo (URU), 1ère sélection : le 4 novembre 1923 contre le Paraguay (2-0), Dernière sélection : le 4 décembre 1932 contre le Brésil (1-2), Médaille d'or aux Jeux Olympiques de Paris en 1924 et d'Amsterdam en 1928 (Uruguay), Vainqueur de la Copa America en 1923 et 1924 (Uruguay), 3ème de la Copa America en 1929 (Uruguay), Vainqueur de la Copa Lipton en 1927 et 1929 (Uruguay), Vainqueur de la Copa Newton en 1929 (Uruguay), Finaliste de la Copa Newton en 1927 (Uruguay), Finaliste de la Copa Rio Branco en 1932 (Uruguay), Champion d’Uruguay en 1933 et 1934 (Nacional), Vice-champion d’Uruguay en 1929 et 1931 (Nacional), Vainqueur du Torneo Competencia en 1934 (Nacional), Nommé dans l'équipe type du tournoi de la Coupe du Monde en 1930, Décédé le 13 décembre 1964 à Montevideo (URU), Dernière sélection : le 18 juillet 1930 contre le Pérou (1-0), Médaillé d'or aux Jeux Olympiques de Paris en 1924 et Amsterdam en 1928 (Uruguay), Finaliste de la Copa America en 1927 (Uruguay), Vainqueur de la Copa Lipton en 1923, 1927 et 1929 (Uruguay), Vainqueur de la Copa Newton en 1929 et 1930 (Uruguay), Champion d’Uruguay en 1924, 1933 et 1934 (Nacional), Vice-Champion d’Uruguay en 1929 et 1931 (Nacional), Élu meilleur joueur de la Copa America en 1924, Meilleur buteur des Jeux Olympiques de Paris en 1924 (7 buts), Meilleur buteur de la Copa America en 1923 (3 buts), 1924 (4 buts) et 1927 (3 buts), Meilleur buteur du championnat d'Italie en 1932 (25 buts) (Fiorentina), - La Fabuleuse histoire du football - Jacques Thibert et Jean-philippe Rethacker, (Cope Intercontinentale des nations: 1 sélection), 1ère sélection : le 2 juin 1983 contre le Paraguay (0-0), Dernière sélection : le 25 juin 1990 contre l'Italie (0-2), Né le 29 novembre 1904 à Montevideo (URU), Décédé le 15 septembre 1960 à Montevideo (URU), 1ère sélection : le 25 novembre 1923 contre le Chili (2-1), Dernière sélection : le 15 août 1935 contre l'Argentine (0-3). Devant le succès populaire de ces tournois mondiaux, la FIFA décide en 1928 d'organiser sa propre compétition, qui soit ouverte aux joueurs professionnels[n 3]. Elle ne participe pas à la Coupe du monde 1958. L'Uruguay se qualifie pour la finale en battant les Pays-Bas (2-0) puis l'Italie (2-0) au premier tour. Un précurseur somme toute. L'Uruguay se qualifie pour la Coupe du monde 2018 après avoir terminé 2e de la zone Amérique du Sud, bien que loin derrière le Brésil. Auréolé de deux titres de meilleur buteur dans la compétition, ses prestations en club confirment également l’étendue de son talent. Le maillot uruguayen comporte quatre étoiles, dans la mesure où les deux titres olympiques obtenus en 1924 et 1928 avant la première Coupe du monde, s'ajoutent à ceux gagnés dans celle-ci en 1930, et vingt ans plus tard au Brésil[2]. Les années suivant le titre de 1930, la Celeste ne joue quasiment plus. José Santamaría, international de 1952 à 1957, obtient sa naturalisation espagnole à la suite de son transfert au Real Madrid CF en 1957. a lui «loué l'importance de Cruyff dans l'histoire du football» tandis que la ministre des Sports, Edith Schippers, s'est dite choquée: «nous perdons le meilleur footballeur de tous les temps». Tour d'honneur uruguayen, après la finale des JO de 1924. Double champion olympique en titre et jouant à domicile, l'Uruguay est logiquement favori[16],[17],[18]. En 1916, l'Association uruguayenne de football fonde avec ses homologues argentine, chilienne et brésilienne la Confédération sud-américaine de football (CONMEBOL), qui se charge d'organiser dès lors un Campeonato Sul-Americano (en français : « Championnat sud-américain des nations ») chaque année. Créée en 1902, la sélection uruguayenne est durant la première moitié du XXe siècle une des meilleures équipes de la planète, alors que le pays ne compte pas plus de deux millions d'habitants[n 1]. Durant ses trois matchs de préparation, l'Uruguay n'encaisse aucun but et ce sera également le cas lors des phases de poules de la coupe du monde. L'équipe d'Uruguay fait son retour en Coupe du monde en 1950, lors de la quatrième édition organisée au Brésil. L'histoire de la Celeste avec l'équipe du Brésil, autre voisin et adversaire régulier, est marquée par le choc du « Maracanaço », le surnom donné à la victoire des Uruguayens au Brésil lors de la Coupe du monde de 1950[62]. Entre 1902 et fin 1915, l'Uruguay dispute 35 matchs dont 34 avec son voisin. Meilleur buteur de l’histoire du Dynamo Kiev, Oleg Blokhine est connu pour être l’un des plus fameux joueurs de football de l’ex-Union soviétique. L'Uruguay s'incline face à l'Argentine, sur le score de 6 buts à 0, ce qui reste à ce jour sa plus large défaite[7]. Les meilleurs joueurs de tennis de tous les temps | Tennis Uni Quatre ans plus tard, l'Uruguay, tenant du titre, s'arrête en demi-finale. La couronne mondiale de 1950 honore deux autres joueurs emblématiques : Oscar Míguez, le meilleur buteur uruguayen en Coupe du monde (8 buts en 1950 et 1954)[46], et Juan Alberto Schiaffino, meneur de jeu génial[53], premier Uruguayen aux classements du meilleur joueur mondial du siècle établi par l'IFFHS et par So Foot en 2012[46]. Entretemps, en 1967, l'équipe d'Uruguay remporte une nouvelle fois la Copa América, à domicile, devant l'Argentine. Il serait alors le meilleur joueur de sa génération. Car auparavant, les statistiques détaillées des passes décisifs étaient rarement conservés. Forlán, auteur de cinq buts dans la compétition, est élu meilleur joueur du tournoi[27]. Il disputera la Coupe du monde de 1962 avec l'Espagne après avoir joué celle de 1954 avec l'Uruguay[55]. Il a remporté deux fois la Copa Libertadores et la Coupe Intercontinentale. En 1974, elle termine dernière de son groupe au premier tour, et continue avec la non participation à la 1978. Elle remporte en 2011 la Copa América, la compétition opposant les sélections d'Amérique du Sud, pour la 15e fois, un record. Légende du classement mondial : trois héros du triomphe mondial de 1950 : parmi la génération 1980-1990, les attaquants. Dans une ambiance folle, devant 93 000 spectateurs[15] et de nombreux journalistes, les locaux retournent une situation délicate à la pause et l'emportent finalement 4 buts à 2 (buts de Pablo Dorado, de Pedro Cea, de Santos Iriarte et de Héctor Castro)[20],[21]. La tenue de l'équipe Uruguayenne se compose d'un maillot bleu clair, d'un short et de bas noirs. 2e de sa poule, l'Uruguay se qualifie pour les quarts de finale, où elle bat l'Argentine, pays hôte, aux tirs au but (1-1 tab 5-4). La sélection uruguayenne est surnommée la Celeste (en français : « la céleste »). nécessaire] : L'équipe d'Uruguay nourrit une rivalité particulière avec celle d'Argentine[5], les deux capitales n'étant séparées que par le río de la Plata. 91 – Roger Milla (Cameroun) Son palmarès peut paraître bien chiche en comparaison de la plupart de ses pairs. Interviewé par la chaîne italienne, Sky Sports, l’ex-attaquant de la sélection camerounaise, Sameul Eto’o a estimé que Cristiano Ronaldo, buteur de la Juventus, est le meilleur joueur de tous les temps. Face au style physique et rustre des Européens, la sélection sud-américaine oppose un jeu collectif basé sur des passes courtes, une bonne technique individuelle et une occupation intelligente de l'espace, couplé à une excelle préparation physique. Le match est donc déclaré nul et rejoué (à partir de la, En 1999, la FIFA décide que les matchs de football disputés dans le cadre des Jeux olympiques à partir des. Après 1970, les performances des Uruguayens s'effondrent. Dans les années qui suivent, l'Uruguay va disposer d'une nouvelle génération d'exception, menée par Enzo Francescoli, Pablo Bengoechea et Ruben Sosa. Vainqueurs de la finale des JO 1928 (entre parenthèses, les changements au deuxième match) : Mazali — Nasazzi , Arispe — Gestido, Fernández (Piriz), Andrade — Urdinarán (Arremón), Castro (Scarone), Petrone (Borjas[43]), Cea, Campolo (Figueroa). L'Uruguay n'a jamais gagné contre l'Espagne[9]. Mais réduire la liste et ne retenir que 10 n’est pas du tout simple. Opposée au Brésil, la Celeste l'emporte 2 buts à 1 grâce à Barrios et Victorino. Certes, le classement comprend beaucoup de joueurs des années 2000. La sélection n'est plus une puissance du football et ne brille plus en Coupe du monde, quand elle parvient encore à s'y qualifier. Avant la mise en place de la Coupe du monde, les Jeux olympiques étaient la grande compétition internationale du football et avaient alors valeur de « championnat du monde ». Elle prend la quatrième place à la Copa América 2001, après une défaite contre le Honduras (2-2, 4-5 tab). Champion Olympique à Paris en 1924, il est surtout le recordman de victoires en Copa America, avec 6 succès à son actif. En 1937 et 1947, il prend la troisième place et la 4e en 1945 et 1946. Après avoir battu la Tchécoslovaquie (2-0, buts d'Oscar Míguez et de Juan Alberto Schiaffino) et l'Écosse (7-0, triplé de Carlos Borges, doublés d'Oscar Míguez et de Julio César Abbadie) au premier tour, il s'impose en quarts contre l'Angleterre (4-2, buts de Carlos Borges, d'Obdulio Varela, de Juan Alberto Schiaffino et de Javier Ambrois). De nombreux joueurs de tennis et anciens joueurs affirment que Roger Federer est le meilleur joueur de tous les temps, le dernier à avoir abordé ce sujet étant l’ex légende, italienne Adriano Panatta. Vainqueurs de la finale des JO 1924 : Mazali — Nasazzi , Arispe — Ghierra, Vidal, Andrade — Romano, Cea, Petrone, Scarone, Urdinarán. Pour la quatrième fois consécutive, l'Uruguay termine 5e de la zone Amérique du Sud et participe matches de barrage des qualifications pour la Coupe du monde, où elle affronte cette fois la Jordanie. À la grande surprise des observateurs, la Celeste survole le tournoi en remportant tous ses matchs, face à la Yougoslavie (7-0), les États-Unis (3-0), la France, pays hôte (5-1), les Pays-Bas (2-1) et la Suisse en finale (3-0), devant plus de 40 000 spectateurs. Les joueurs suivants sont également importants dans l'histoire de la sélection uruguayenne[réf. Il est de loin le pays le moins peuplé à avoir remporté la Coupe du monde et le tournoi de football des Jeux olympiques. Probablement le meilleur joueur de Billard de tous les temps - Forum Forum de discussions de chat convivial pour les membres de Koreus.com Passé également par le CURCC, le Central Uruguay Railway Cricket Club, et Boca Juniors en Argentine, il a détenu le record mondial de sélections pendant treize ans avec 69 capes internationales, dépassé en 1940 par le suisse Severino Minelli. La première autre équipe rencontrée est le Chili en 1910, à l'occasion de la Copa Centenario Revolución de Mayo (en), le prédécesseur de la Copa América[10]. En 1919 l'Uruguay s'incline finalement face au Brésil lors d'une finale organisée en match d'appui, qui doit être prolongée deux fois de 30 minutes pour offrir un vainqueur[11]. Meilleure photo de Gamer Ever décor mural pour les joueurs jeu d’impression numérique pour salle de jeu décoration murale décoration dintérieur 50 cm X 50 cm En 1926, l'Uruguay remporte de nouveau le championnat sud-américain. Les Uruguayens répondent aux attentes en battant le Pérou (1-0, but de Héctor Castro), à l'occasion de l'inauguration du stade Centenario, le grand stade construit à Montevideo, puis la Roumanie (4-0, buts de Pablo Dorado, de Héctor Scarone, de Peregrino Anselmo et de Pedro Cea) au premier tour, puis la Yougoslavie (6-1, triplé de Pedro Cea, doublé de Peregrino Anselmo et but de Santos Iriarte)[19]. Cette rencontre est parfois considérée comme une première internationale hors de Grande-Bretagne mais elle n'est aujourd'hui pas reconnue par les fédérations uruguayenne et argentine[5],[6]. Il faut attendre 1935 pour voir se jouer une édition spéciale du Campeonato sudamericano, que l'Uruguay remporte (le tournoi est officiellement rétabli en 1939). Des matchs de football se disputent de plus en plus régulièrement et des clubs dédiés uniquement à sa pratique apparaissent dans la capitale uruguayenne. Il n'est à son tour dépassé que par Omar Borrás (58 matchs dans les années 1980), puis Oscar Washington Tabárez, nommé en 2006 à la tête de la sélection (134 matchs en novembre 2013)[41]. Remettant son titre en jeu, il remporte le 9 novembre 1927 face à la Bolivie la plus large victoire de son histoire (9-0). En demi-finale, l'Uruguay s'incline face aux Pays-Bas (3-2), puis de nouveau face à l'Allemagne en petite finale (3-2). Le stade est inauguré le 18 juillet 1930 lors du premier match disputé par l'Uruguay dans le tournoi face au Pérou. À l’occasion de son 50e anniversaire, il revient sur sa glorieuse carrière. Il devient ensuite un entraineur à succès et sera sélectionneur de l'Uruguay de 1991 à 1993. Il a exercé ses talents au début du 20ème siècle, mais n'a jamais eu le bonheur de connaître une Coupe du Monde... puisqu'il a pris sa retraite internationale en 1927. Champion sud-américain en titre, l'Uruguay est invitée en 1924 à Paris pour le tournoi de football des Jeux olympiques, la première compétition à réunir des sélections d'Europe et d'Amérique du Sud. Le terrible défenseur Paolo Montero a arrêté sa carrière internationale trop tôt (en 2005) pour accompagner leur succès en sélection[46]. C'est sa 3e victoire en quatre éditions. La Celeste reprend son bien en 1920 au Chili, infligeant au passage la plus lourde défaite de l'histoire de la sélection brésilienne (6-0). En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intéréts. Battu finalement par l'Argentine de justesse (3-2), l'Uruguay lui abandonne sa couronne. Rubén Paz, un brillant gaucher[57], est élu meilleur joueur sud-américain de l'année 1988 (quatre ans après Francescoli, le premier uruguayen honoré de ce titre). Le but de Diego Godín à la 81e permet à l'Uruguay de prendre la deuxième place du groupe et de se qualifier pour les huitièmes de finale[33],[34]. Il participe ainsi à 50 matchs internationaux. L'Uruguay tombe dans le groupe D, « groupe de la mort » qui comprend deux autres anciens champions du monde (Italie et l'Angleterre) ainsi que le Costa Rica[30]. Les années suivantes sont difficiles. Un an plus tard, les Uruguayens tiennent leur revanche lors Jeux olympiques d'Amsterdam. Lors de la phase finale, l'Uruguay perd contre le Danemark (1-2, but de Darío Rodríguez), puis fait deux fois match nul contre la France (0-0) et le Sénégal (3-3, buts de Diego Forlán, de Richard Morales et d'Alvaro Recoba), après avoir été menée 3-0 à la mi-temps. Le classement pris en compte est celui du mois de décembre. Depuis l'introduction du classement mondial de la FIFA en 1993, l'Uruguay a navigué entre la 76e place, son pire classement atteint en décembre 1998, et la 2e place de juin 2012, qui fait suite à son bon parcours lors de la Coupe du monde 2010 et sa victoire en Copa América 2011. Il parle de Ronaldinho et de Lituanie 2021. Lors du match disputé en 1901, la sélection uruguayenne porte le maillot rouge et bleu de l'Albion Football Club. À la fin de 1980, l'Uruguay organise le Mundialito, un tournoi célébrant les 50 ans de la première Coupe du monde de football. Pour la Coupe du monde 2006, elle échoue en barrages (1-0 ; 0-1, 2-4 tab) contre l'Australie. Nommé dans l'équipe type Sud-Américaine de l'année en 1986 et 1987, Nommé dans l'équipe type du tournoi de la Coupe du Monde 1930, Compétitions Nord-Américaines et Caribéenes, Internationaux Serbes/Yougoslaves de Monténégro. Bobby Fischer et Jose Capablanca se distinguent également, avec des décennies d'avance sur leurs pairs en termes de compétence brute aux échecs. Parmi les sélections du reste du monde, la plus rencontrée est le Mexique (21 matchs), suivi du Costa Rica (13 matchs), de l'Angleterre et l'Italie (11 matchs), la France et l'Espagne (10 matchs) et enfin l'Australie (9 matchs). Messi le meilleur joueur de tous les temps. Tournoi officiel, rétrospectivement déclassé en « amical » par la FIFA en raison de la forte polémique ayant entouré l'organisation de ce, Éliminatoires de la Coupe du monde de football 2022 : zone Amérique du Sud, Fédération internationale de football association, Finale de la Coupe du monde de football 1930, Match de football Brésil - Uruguay (Coupe du monde de 1950), tournoi de qualification pour la Coupe du monde 1998, dernière Coupe du monde des moins de 20 ans, Liste des matchs de l'équipe d'Uruguay de football par adversaire, Équipes nationales de football championnes du monde, https://fr.fifa.com/fifa-world-ranking/ranking-table/men/, Raisons d’exclusion ou d’admission aux matches internationaux « A » (1901-1910) : Uruguay - Argentine 1901, Tournoi olympique de football masculin 1924, Tournoi olympique de football masculin 1928, « Premières pour l'Uruguay (lequipe.fr) », 30 juillet 1930 - L'Uruguay remporte la première Coupe du monde, Coupe du monde de la FIFA, Uruguay 1930 - Finale, Coupe des confédérations 1997 - Au tour du Brésil, Roque MASPOLI - L'ange gardien de la Celeste, José Emilio Santamaría - International Appearances, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Équipe_d%27Uruguay_de_football&oldid=181852730, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article contenant un appel à traduction en espagnol, Article avec une section vide ou incomplète, Catégorie Commons avec lien local différent sur Wikidata, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Les tournois de football des Jeux olympiques de 1924 et 1928 seront les seuls co-organisés par la FIFA, qui les reconnait comme des championnats du monde[15]. Le troisième match contre l'Italie est décisif : l'Uruguay a besoin d'une victoire pour se qualifier pour la suite de la compétition. Or, l'équipe d'Uruguay n'a remporté que deux Coupes du monde, en 1930 et 1950. Troisième du groupe, l'Uruguay est éliminée dès le premier tour. À la Copa América 2007, l'Uruguay s'incline lourdement face au Pérou (0-3), bat la Bolivie (1-0, but de Vicente Sánchez) et fait nul contre le pays organisateur, le Venezuela (0-0). Au premier tour, profitant des forfaits de la Turquie et de l'Écosse, sa large victoire sur la Bolivie (8 buts à 0, triplé d'Oscar Míguez, doublé de Juan Alberto Schiaffino, buts de Julio Gervasio Pérez, d'Alcides Ghiggia et d'Ernesto Vidal) lui suffit à se qualifier pour le tour final, qui oppose quatre finalistes.