Procureur du Tribunal des flagrants délires en compagnie de Claude Villers et Luis Rego, Pierre Desproges connaît un immense succès et rend inoubliable l’accroche du début des ses réquisitoires : « Françaises, Français ; Belges, Belges ; mon Président-mon chien ; monsieur l’avocat le plus bas d’Inter ; mesdames et messieurs les Jurés ; public chéri, mon amour ! Ajoutez ce permalien à vos favoris. Il y a 35 ans Claude Villers, assisté de Pierre Desproges et Luis Rego faisaient leur dernier procès sur lantenne de France Inter. Il y a 35 ans… Claude Villers, assisté de Pierre Desproges et Luis Rego faisaient leur dernier procès sur l’antenne de France Inter. Retrouvez donc en version remasterisée (IMAGE ET SON)… l’intégralité des 3 seules émissions filmées… Desproges conclue généralement son accusation avec sa formule rituelle : « Donc, l'accusé est coupable, mais son avocat vous en convaincra mieux que moi ». Synopsis. Publié dans Documentaire, Pierre Desproges, Télévision et tagué Christophe Duchiron, Claude Villers, Cyclopède, Desproges par Desproges, Diacritik, Dominique Bry, Françoise Sagan, France 5, Francis Schull, Ina, Le Petit Rapporteur, Philippe Jaenada, Pierre Desproges, Serge Moati, Une plume dans le culte. Sortie en DVD & VOD le 26 Novembre 2009 Une émission culte dirigée de main de maître par Le Tribunal des flagrants délires est une émission de radio satirique diffusée entre 11h30 et 12h45 sur France Inter, de septembre 1980 à juin 1981, puis de septembre 1982 à juin 1983. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Tribunal des flagrants délires est une émission de radio satirique française diffusée entre 11 h 30 et 12 h 45 sur France Inter, de septembre 1980 à juin 1981, puis de septembre 1982 à juin 1983. Claude Villers, de son vrai nom Claude Marx, né le 22 juillet 1944 à Everly (Seine-et-Marne), est un journaliste et homme de radio et de télévision français. Michel Hermant (réalisateur) Avec Claude Villers, Luis Rego, Pierre Desproges Il y a 35 ans… Claude Villers, assisté de Pierre Desproges et Luis Rego faisaient leur dernier procès sur l’antenne de France Inter. Et ce féru de voyages et d'évasion met au service de ses passions une culture jamais en défaut. Et mon courroux, coucou ! Claude Villers, journaliste-écrivain par La_Scam On connaît bien Claude Villers, d'abord comme journaliste et animateur de radio. Traités comme des prévenus, les invités de l'émission étaient à l'origine défendus par Luis Rego (l'avocat \"le plus bas d'Inter\", en référence à Me Robert Badinter, devenu Garde des Sceaux durant cette période). Le « prévenu » était par la suite attaqué par le Ministère public représenté par Pierre Desproges, alias « le procureur de la République Desproges française », qui entrait en scène sur la musique de la Marche funèbre de Chopin, interprétée de façon souvent très personnelle par le pianiste de l'émission, Georges Rabol. Sortie en DVD \u0026 VOD le 26 Novembre 2009 \r\rUne émission culte dirigée de main de maître par Claude Villers, Pierre Desproges et Luis Rego. Au cours de ces « réquisitoires », Desproges allait souvent jusqu'à ignorer totalement les invités du jour, préférant s'engager dans de longs exposés excentriques sur les sujets les plus divers, comme le cassoulet toulousain, la recette du cheval-melba, le cancer ou sa dernière quittance de gaz. Mesdames et Messieurs, la cour ! Pierre Desproges (Acteur), Claude Villers (Acteur), Michel Hermant (Réalisateur), & Classé: Tous publics Format : DVD. Cet homme un peu massif a l'esprit fin et de l'humour à revendre. Claude VILLERS est président, Pierre DESPROGES procureur et Luis REGO assure la défense de l'invité. Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Image animée : vidéo Titre(s) : Le tribunal des flagrants délires [Images animées] / Pierre Desproges, Claude Villers, Luis Rego, présent. Sortie en DVD & VOD le 26 Novembre 2009Une émission culte dirigée de main de maître par Claude Villers, Pierre Desproges et Luis Rego. Salut, ma hargne ! Tout sur Le Tribunal des flagrants délires DVD - Claude Villers - Luis Rego, DVD Zone 2 et toute l'actualité en Dvd et Blu-ray. Claude Villers, Luis Rego, Jean Carmet et Pierre Desproges, le jour où on a filmé "le Tribunal des flagrants délires", l'émission de France-Inter qui dura de 1980 à 1983. Les personnalités invitées à passer en jugement furent nombreuses : PPDA, Jean Carmet, Jean-Marie Le Pen... \rL'émission avait pour cadre un tribunal imaginaire présidé par Claude Villers (le \"Massif Central\"). Des images rares pour les amoureux de lhumour de DESPROGES, Villers ou Rego ! Mesdames et Messieurs, la cour ! Claude Villers est aussi administrateur du Centre François-Mauriac à Malagar. Fnac : Livraison chez vous ou en magasin. L'émission connut un succès incontestable, et les personnalités invitées à passer en jugement furent nombreuses, dont : Pierre Perret[1] le premier invité, Frédéric Mitterrand[2], Renaud, Daniel Cohn-Bendit, Jacques Séguéla, Guy Bedos[3], Jean d'Ormesson, Plastic Bertrand, Yannick Noah[4], Coluche[5], Léon Zitrone ou Jean-Marie Le Pen[6]. Depuis 2019, la chaîne Youtube de l'INA met régulièrement en ligne (généralement les mardi midi) les réquisitoires de Pierre Desproges (occasionnellement suivis d'une plaidoirie de Luis Rego ou Eva Darlan). », ce dernier mot étant repris en chœur par le public. Si l'invité était un chanteur professionnel, cette dernière chanson devait impérativement ne pas être extraite de son répertoire ; c'est ainsi, par exemple, poussant la règle du contre-emploi jusqu'à son extrême, que Juliette Gréco choisit d'interpréter « Bécassine c'est ma cousine » d'ordinaire chantée par Chantal Goya[9]. L. R. Desproges avait très envie de faire de la scène. Parti tôt de chez ses parents pour fuir le métier d'employé de banque, Claude Villers commence d'abord à gagner sa vie en étant catcheur. Face au tribunal présidé par Claude Villers et dont Pierre Desproges est le procureur général, Georges Descrieres de la Comédie Française, répond à l'accusation de faux et usage de faux, pour son acharnement à copier le style ancien, étant adepte du passéisme et … Alain Bourron/AFP Radio. À certaines occasions, Claude Villers, Luis Rego et Pierre Desproges étaient parfois remplacés dans leurs rôles de président, avocat et procureur par d'autres fantaisistes[10] : La journaliste Jeanne Folly participa également à l'émission en tant qu'« experte très experte », chargée de dresser le profil psychologique de l'accusé. Mercredi 10 novembre 1982 – France Inter à 11h30 Présenté par Claude Villers, Pierre Desproges, Luis Rego Dorothée est l’invitée du “Tribunal des Flagrants délires”. Cette célèbre émission de radio, diffusée entre 1980 et 1983 tous les midis sur France-Inter, consistait en une parodie de procès dont étaient victimes des célébrités heureusement consentantes. Procureurs suppléants (après le départ de Desproges) : La dernière modification de cette page a été faite le 24 novembre 2020 à 17:17. », « Donc, l'accusé est coupable, mais son avocat vous en convaincra mieux que moi », « Georges Rabol qui, je le précise à l'intention des auditeurs qui n'auraient pas la chance d'avoir la couleur, est presque aussi, Liste des réquisitoires de Pierre Desproges au Tribunal des flagrants délires, « Claude Villers, Le Tribunal des flagrants délires », https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Le_Tribunal_des_flagrants_délires&oldid=176932857, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Une émission culte dirigée de main de maître par Claude Villers, Pierre Desproges et Luis Rego. Et moi j'avais le sentiment de tourner en rond. \rL'émission connut un succès incontestable. Salut, ma hargne ! Le Tribunal des flagrants délires est une émission de radio, diffusée entre 1980 et 1981, sur France Inter, et animée par Pierre Desproges, Claude Villers et Luis Rego. Journaliste, Claude Villers l'est depuis son plus jeune âge si l'on peut dire... Il a en effet été le plus jeune titulaire de la carte de presse, en 1961, alors qu'il n'avait que 17 ans et demi. Retrouvez donc en version remasterisée (IMAGE ET SON) lintégralité des 3 seules émissions filmées PPDA, Jean Carmet et Jean-Marie Le Pen ! Les « prévenus » étaient par la suite défendus par Luis Rego, l'avocat « le plus bas d'Inter »[c]. L'introduction des « réquisitoires » de Desproges envers les prévenus, restée célèbre, était presque toujours basées sur la phrase suivante[8] : « Françaises, Français ; Belges, Belges ; mon président-mon chien[a] ; monsieur l'avocat le plus bas d'Inter ; mesdames et messieurs les jurés ; public chéri, mon amour ! parfois complété de : « Bonjour, ma colère ! Un de ses enfants, Jean-Louis Foulquier, est décédé mardi dernier à 70 piges. ], [DL 2009] Description matérielle : 2 DVD vidéo monofaces double couche zone 2 (5 h 16 min) : 16/9, coul. Emission quotidienne de Claude VILLERS et Monique DESBARBAT, conçue sous la forme d'un tribunal devant lequel l'invité du jour est appelé à comparaître.Claude VILLERS est président, Pierre DESPROGES procureur et Luis REGO assure la défense de l'invité. Le Ministère Public était, quant à lui, représenté par le procureur \"de la République Desproges française\", Pierre Desproges. Certaines émissions furent réalisées par Claude Berri[7]. Une voix et un timbre reconnaissables parmis des milliers d’autres. À certaines occasions, Claude Villers, Luis Rego et Pierre Desproges étaient parfois remplacés dans leurs rôles de président, avocat et procureur par d'autres fantaisistes[10] : La journaliste Jeanne Folly participa également à l'émission en tant qu'« experte très experte », chargée de dresser le profil psychologique de l'accusé. Posted by 3 years ago. Elle s'inspirait elle-même d'une émission antérieure de chansonniers, Procès pour rire, au début des années 1960 avec Frida Boccara. https://www.paperblog.fr/2542870/le-tribunal-des-flagrants-delires Le « procès » du Tribunal des flagrants délires commençait par une présentation de l'invité — présenté comme le « prévenu » —, qui était « interrogé » par le président du tribunal, Claude Villers. Le tout était invariablement ponctué d'allusions dénigrantes envers l'avocat du prévenu, Luis Rego, concernant ses origines portugaises, son physique « fluet », ses compétences « d'avocat pourri d'office »[b] ou sur sa Tata Rodriguez dont Desproges soupçonne qu'elle lui envoie des colis en « paquet-fado ». Luis Rego alternait alors les digressions et les thématiques loufoques, comme des parodies de jeux radiophoniques[d], des résumés de fiches-bricolages improbables, etc. « le procureur de la République Desproges française », « Bonjour, ma colère ! Produite par Monique Desbarbat, l'émission avait pour cadre un tribunal imaginaire présidé par Claude Villers (surnommé le « massif central » par Desproges en raison de sa position dans le studio et son embonpoint). Publication : [Issy-les-Moulineaux] : StudioCanal : Universal StudioCanal vidéo [distrib. \r\rLe Tribunal des flagrants délires est une émission de radio satirique diffusée entre 11h30 et 12h45 sur France Inter, de septembre 1980 à juin 1981, puis de septembre 1982 à juin 1983. Retrouvez donc en version remasterisée (IMAGE ET … Et mon courroux, coucou ! ». À certaines occasions, Claude Villers, Luis Rego et Pierre Desproges étaient parfois remplacés dans leurs rôles de président, avocat et procureur par d'autres fantaisistes : France Inter a 50 ans. Cet amateur de bonne chère préside l'Association des bibliothèques gourmandes … Claude Villers : une grande voix de France Inter. Pierre Desproges (à gauche) et ses complices Claude Villers (au milieu) et Luis Rego (à droite) au « tribunal » de la Maison ronde. Face au tribunal présidé par Claude Villers et dont Pierre Desproges est le procureur général, Claude Piéplu évoque ses rôles à la scène et à l'écran et pourquoi, selon lui, un comédien n'a pas à taire ses engagements politiques. : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Des « témoins » pouvaient être entendus — comme Guy Bedos lors du procès de Coluche[5] —, l’émission se terminant par la dernière parole, donnée pour sa défense au « prévenu ». Conclusion invariable de l'audience, le « prévenu » était soit condamné à interpréter une chanson de son choix, soit acquitté mais fermement invité à chanter une chanson, reprise en chœur par le tribunal et le public. Un accompagnement musical, pour la chanson qui entamait chaque émission et des improvisations ponctuant les propos des uns et des autres, était joué au piano par Georges Rabol qui, comme le dira Pierre Desproges au cours du procès de Jean-Marie Le Pen : « Georges Rabol qui, je le précise à l'intention des auditeurs qui n'auraient pas la chance d'avoir la couleur, est presque aussi nègre que pianiste »[8]. Ses interventions maniaient subtilement le sous-entendu un brin grivois et évoquaient invariablement les multiples « séances sur le divan » auxquelles elle avait soumis l'accusé. 4,4 sur 5 étoiles 32 évaluations. Claude Villers, Claude Marx de son vrai nom, est un écrivain, journaliste, producteur et animateur de radio français né le 22 juillet 1944 à Everly.