Il en eut l'idée à la suite de l'achat d'un mouchoir indien, et les invitations étaient la copie de ce mouchoir[13]. », « Arturo Lopez-Willshaw allait transformer sa vie tout entière. Le milliardaire chilien Arturo Lopez-Willshaw loua le premier étage de cet hôtel prestigieux de l'île Saint-Louis, que son jeune compagnon restaura pendant deux ans (1947-1949 ?) Confié à un tuteur, Alexis décide, en septembre 1939, de partir pour New-York, où réside une partie de sa famille et y reste jusqu'en 1946 . Cependant, le titre de baron de Redé n'est pas mentionné dans l'Almanach de Gotha et de ce fait sa validité a été mise en doute : ainsi « Dans Les Juifs, écrit Roger Peyrefitte[1], j'ai fait allusion à son origine ; il m'a fait écrire par son avocat que le titre de baron de Rédé était reconnu dans la principauté de Liechenstein ! Des « esclaves noirs » torse nu portaient les torches dans le grand escalier menant à la salle de bal, tandis que des automates jouaient de différents instruments, disposés dans la majestueuse galerie d'Hercule. Elève brillante, elle est titulaire d'une maîtrise en sciences politiques et d’un DESS en communication et multimédia de l’Institut Français de la Presse. Quatre cents invités y participent, parmi lesquels les personnalités les plus connues du Tout-Paris et de la café society internationale : Le maître de maison était costumé en prince mongol. Il meurt à Neuilly-sur-Seine; sa messe de funérailles est dite en l'église Saint Louis en l'île le 14 septembre 2004, selon le rite extraordinaire de l'église catholique par le père Konrad zu Loewenstein, fils d'un de ses amis, le prince Rupert zu Loewenstein. Toujours selon Karge, le jeune Alexis aurait vécu à Heiligendamm pendant l'été 1932 [4]. Charlotte a 6 postes sur son profil. L'égérie de Saint-Germain-des-Prés a joué pour Cocteau, chanté Prévert, Queneau et Sartre. Côté vie privée, Carole Tolila est marié au journaliste Thomas Isle, rencontré pendant leurs études en sciences politiques. C'est un homme très distingué, et qui a une sorte de génie des affaires. En 2012, France Télévisions la sollicite et lui propose de devenir le joker de Marine Vignes pour l’émission Météo à la carte sur France 3. » Mais si l'on considère l'année 1916 où le titre a été créé, en pleine première Guerre mondiale, peu avant l'effondrement des principautés allemandes et des empires centraux, il faut admettre que la mise à jour d'un almanach ait pu ne pas y être traitée en urgence : l'anoblissement d'Oskar Adolf Rosenberg fut effectivement confirmé[2]. À sa mort en 1962, il hérita de la moitié de sa fortune et d'une partie de l'importante collection d'art réunie dans son hôtel particulier de Neuilly-sur-Seine. La mère d'Alexis, Édith von Kaullas, appartient à une riche famille de banquiers juifs allemands eux-mêmes anoblis et associés au roi de Wurtemberg dans la propriété de la banque de Wurtemberg. Article reproduisant une photographie par Cecil Beaton de Redé costumé en prince oriental lors du fameux « bal des masques et dominos » de Carlos de Besteigui dans son palais vénitien, le 3 septembre 1951. Dans le premier épisode de la Saison 3, Dan révèle que Charlotte ne se souvie… À l'instar des riches familles d'Europe centrale de l'époque, les Rosenberg mènent une existence cosmopolite et voyageuse. Redé, qui ne cachait pas son homosexualité, fut longtemps le compagnon d'Arturo Lopez-Willshaw qui avait épousé sa cousine [14]. Arturo était marié, Redé faisait la cour aux baronnes de Rothschild ou aux jeunes filles du monde. La musicienne joue du violoncelle au côté d'un grand nombre d'artistes français. Parallèlement, elle fait ses premiers pas derrière la caméra après une formation de journaliste reporter d’images au CFPJ. Il a réussi, non seulement à restaurer la fortune d'Arturo Lopez, mais encore à devenir plus riche que lui. Décorateur « grand genre » et collectionneur d'art, « Un jour Arturo Lopez [-Willshaw] entre dans une banque new-yorkaise et aperçoit un ravissant et mince employé blond. », « Il existe à Paris une poignée d'hommes qui, depuis des décennies, semblent ne pas avoir vieilli, ou presque. Redé et la comtesse de Romanones figurent dans une des quatre photographies d'André Ostier prises à cette occasion (tirages argentiques en couleurs n° 69 à 72 du catalogue de la vente par la maison de ventes Pierre Bergé et associés de "Photographies modernes et contemporaines" le 20/12/2006 à la salle des Beaux-Arts de Bruxelles); sous le numéro 73 du catalogue figure un portrait photographique par Ostier de Rédé "en Louis II de Bavière" (Paris, 1954).